vendredi 19 mars 2010

proposition



je pensais à une publication-expo ou expo-publication qui pourrait consister en ceci :
De notre amas en cours et à venir, de notre
amateria, faire une sélection d'images (le plasticien parle) et de textes, sans oublier de penser à un fond sonore (l'expression est péjorative, mais ça fonction ne devrait pas l'être) .
Une sélection de 111 ou 166 ou encore 333 images (ou cadrages d'images, diverses et variées, y compris de nos propres travaux, actions, faits, je ne sais quoi encore ; images bonnes ou mauvaises suivant tel ou tel critère, mais tirages irréprochables).

(Cadrages d')images accompagnées de textes (ou fragments de textes ; prévoir de ne pas dépasser un certain nombre de signes), en miroir, en relation, en jeu entre eux.
111 images + 111 textes + 111 pièces sonores
ou
166 images + 167 textes + fond sonore, avec ou sans coupures ;
ou une autre quantité, peu importe, au fond.

Prévoir que dans une exposition, ou une publication (je pense à une boîte) ou les 2 ensemble, ce qui serait encore mieux, chaque image renverrait à un texte qui renverrait à une image qui renverrait…, dans l'idée d'une piste à suivre (jeu de piste ? de plein air ?)
L'idée du cadavre-exquis de Véro permettrait la construction…
Un fil, une ligne conducteurs pour une expo, de même pour une publication (au plus simple une suite de numéros, mais il faudrait trouver mieux)

Chercher pour cela
la cohérence,
(par) la simplicité,
le ludique,
l'ouverture…

Qu'est-ce vous en pensez ?

11 commentaires:

  1. possible
    toujours possible
    comme disait Bobby Lapointe…

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  2. avec ou sans relation apparente à Marseille (même sans le vouloir) ;
    et dans nos séries "classements", on pourrait regrouper ces textes et ces images (et sons ?) autour de famille (de mots) type "libellés", en trouvant à l'occasion un autre mot…
    Peau cible, dirait Siboun…

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  3. oui, c'est une bonne idée, comment la mettre en oeuvre ? V

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  4. en effet, si nous partions sur une idée comme celle-là, il faudrait penser à un format d'image (en couleur, non, même si certaines seraient plus proches du noir et blanc) type carré, à l'italienne, type page, les dimensions ;
    pour le texte le nombre de signes maximum, savoir si nous présenterions les textes sous forme de tirages photo, ou imprimés, quelle typographie, etc.
    Peut-être que dans un premier temps il faudrait regrouper ces images (pour ma part, je pense à des chemins, routes, etc, allant vers un point de fuite ; mais ce n'est pas décidé);
    surtout penser l'idée du cadavre exquis, Antoine t'envoie une image, que tu commentes, tu renvoie à ton tour une image ou un texte à un autre amateur, qu'il commente ou auquel il associe une image et ainsi de suite…
    quant ça prend tournure, on peut se poser ces questions plus formelles pour une publication et une exposition, gardant à l'esprit de faire une proposition pour mars 13, avec l'idée de trouver un financement, un lieu etc…

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  5. plus simplement encore, retourner un texte ou une image sans qu'ils soient pour autant un commentaire ou une illustration de ce qu'on a reçu. Du type : j'ai reçu ça, et bien je renvoie ça, avec ou sans lien (mais si l'on veut garder l'idée du fil directeur… à méditer).

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  6. tout ce possible m'étourdit!
    comme disait Radio Nova il y a bien longtemps :
    "Quand tout est possible, rien n'est possible…"
    j'ai pas le début d'une piste pour faire un numéro imprimé, je ne sais plus du tout ce que ça peut coûter. Quand j'étais dans le métier, je faisais en sorte que ça coûte le moins cher possible, et aujourd'hui j'ai le moins d'argent possible… ça fait un trou sémantique!
    qui est prêt à (s')investir de ce côté-là ? moi, je suis pour une version gratuite et disponible pour le monde entier et plus, c'est-à-dire un blog comme celui-ci ou autrement, peut-être plus souple, je crois qu'on peut créer et gérer des sites gratuits, là-dessus je peux me renseigner…
    Quant au con-tenu ou lâché, je veux bie me plier à un protocole, mais je suis aussi pour le plus de liberté possible, je pense qu'il encore ou déjà possible de faire une TAZ ensemble et avec d'autres!
    à vous.

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  7. Bon, j'ai compris, des textes et des images, quoi de plus banal dans notre environnement ; le jeu en vaut-il la chandelle ?
    Je crois que oui, si l'on se prend au jeu des images et des textes…
    Mais tel que ça évolue (se maintient) du côté des amateurs, si on maintient ce cap — je l'écrivais plus en amont — il est possiblement plus tranquille, et non moins blâmable au fond, de ne s'en tenir qu'au souhait de faire certaines choses, plutôt que de les espérer (je m'en réfère à la dernière page de L'utopie de Thomas More : "Je le souhaite, plutôt que je l'espère").

    Et les amateurs, qu'en pensent-ils ?

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  8. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  9. merci pour les infos, ça au mois c'est du con-crée!
    la notion de rien est quand même assez floue si je puis me permettre, s'il suffit de salir du papier ou de l'espace avec nos divagations pour avoir le sentiment de faire quelque chose, je ne suis pas sûr d'y trouver tout l'agréement nécessaire,mais effectivement chacun fait fait fait c'qui lui plait plait plait…
    c'est drôle, comme chaque relation, discussion, échange avec Daniel me met dans un état de révolte immédiat, c'est comme si une révolte adolescente trouvait aussitôt l'énergie de reprendre feu. Vous pouvez m'expliquer ça, docteur ?

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  10. qui parle de salir du papier ou de l'espace, de divagations, pour avoir ce sentiment (?) de faire quelque chose ?
    On parle, on exprime le désir de faire quelque chose ensemble, non ?
    Mais si ce n'est plus à l'ordre du jour, ou en d'autres termes déjà plus notre désir commun, eh ben moi je me dis c'est dommage, mais, oh, rien de dramatique, on peut toujours se dire qu'on a mieux à faire en faisant autre chose ou rien ; ton dernier message, Antoine, nous laisse la désagréable impression que tu n'en as rien à foutre (que ce soit au fond, on le comprend ; mais en surface, dans cette relation que nous entretenons ces temps-ci sur ce blog, on le comprend et sans doute l'acceptons un peu moins).
    Quant aux pulsions ados, du côté du psychanalyste sans doute…
    Cela dit, chers amateurs, on peut composer sans les états d'âmes ou les vues d'esprit des uns et des autres, non ?

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  11. En surface j'aimerais bien norcir un peu de papier avec vous v au fond

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