

je viens de lire "la possibilité d'une île" de M. Houellebecq, ça vous dit quoi ?
je suis plutôt positif,
mais c'est peut-être parce que je ne lis plus rien et que je n'ai plus de sens critique…
j'ai aussi lu "digressions sur l'air" de Burton.
J'ai l'impression qu'ils parlent de la même chose : l'absence d'un lieu sur terre pour l'humain.
Le lieu-tenant du rien, disait Heidegger…
Ça pourrait re-joindre nos (mes?) préoccupations sur l'abhumanisme, comme le nommait Audiberti…
Bonne journée et merci.