mercredi 11 novembre 2009

un peu plus

pour en savoir un tout petit peu plus sur Albert et sa fanfare,
je vous engage à consulter la page suivante :
ce qui nous ramène comme de bien entendu à

MARSEILLE.


Je commence à me demander si ça ne devrait pas être, tout bêtement, NOTRE SUJET !
Qu'en pensons-nous ?
Me vient à l'aise-pris le titre du livre que F. Vallabrègue,
ancien compagnon de Martine Pisani,
lui avait consacré : La Ville Sans Nom.
Ça fait du lien avec cette obsession de l'âne-au-nid-mat, non ?
Et puis, il y a Artaud, Ferré, Tarkos, Brigitte Garcia, Léda Atomica, Band Apart…
tout ce qu'on peut bien désirer est caché à Marseille…
Et bien d'autres merveilleuses co-incidences…
Quant à Hector Zazou : Né le 11 juillet 1948 à Sidi Bel Abbès (Algérie) sous le nom de Pierre Job, Hector Zazou avait amené la radicalité expérimentale sur le terrain populaire, comme la marge tient les pages. Révélé au sein du collectif Barricade en 1969 à Marseille, ce bassiste nourri à Captain Beefheart et Raymond Roussel ambitionne de capter en musique l'esprit situationniste d'époque par une série d'emprunts, de détournements et de foutages de gueule… non, je ne crois pas, mais Marseille est là aussi pour lui…


mardi 10 novembre 2009



Qu'est-ce que j'en ai fait ?!

lundi 9 novembre 2009

de deux choses l'une, sans doute…



je ne sais pas pourquoi ces deux chosidées se trouvent associées,
mais j'ai trouvé presque simultanément cette photo de Erwin Wurm
et ce petit texte sur Albert Marcoeur :



Les chansons-listes d'Albert Marcoeur
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LE MONDE | 18.10.08 | Sylvain Siclier
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Albert Marcoeur aime les listes. Celle des photos de sa famille "classées n'importe comment". Celle de produits étiquetés "tradition". Celle des notes de musique (le sol, le mi, le fa, le si) qui permettent de façonner un air. Celle des femmes d'ici et d'ailleurs. Celle, à la fois effrayante et drôle, de Stock de statistiques ("1 Français sur 5 a peur/1 Français sur 2 a peur de la peur").


Né en 1947, Albert Marcoeur, clarinettiste, batteur, auteur-compositeur, inventeur d'orchestres, joue avec les mots, poussant leur sens et leur logique jusqu'à l'absurde. Ses chansons-listes font penser à Georges Perec. Son observation du quotidien rappelle Raymond Queneau dans les romans Le Chiendent (1933) ou Un rude hiver (1939). Sa fantaisie tranquille, rêveuse, touchera les amoureux de Boby Lapointe.


"Travaux pratiques", nouveau spectacle de Marcoeur et titre d'un récent album (chez Label Frères), a été créé les 12 et 13 juillet 2007 au Théâtre des Feuillants de Dijon. Quelques concerts cette année et ce temps de pause au Café de la danse, à Paris, du 15 au 19 octobre.


Marcoeur joue aussi avec les musiques. Rock, jazz, musique classique, sons de machines, voix mêlées, tuilages d'instruments... En combinaisons soignées, de toute précision, rebondissements rythmiques et chausse-trappes harmoniques. Complexe, mais toujours lisible. "Tant qu'à faire les choses, autant les faire bien. Et même mieux", confiait-il au Monde il y a quelques années. En près de deux heures, avec ses frères Claude (batterie) et Gérard (claviers, batterie), le quatuor à cordes Béla, deux guitaristes et un bassiste, Marcoeur fait encore mieux que mieux.


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www.marcoeur.com
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on trouvera par ailleurs, mais pas loin d'ici,
un hommage que j'ai fabriqué tout à l'heure à ce même Albert :
l'occasion aussi d'écouter une de ses belles chansons…