je cherche comment m'opposer à ce désir de possession et d'exclusion qui semble être un trait dont certains humains se font une gloire.
dans cette idée, je cherche à qui proposer de participer à notre entreprise…
j'ai proposé à Marianne C. de présenter ses poupées, elle est d'accord.
Si tu cherches à qui proposer, tu es déjà dans un processus de sélection, donc de possible exclusion. Il faudrait proposer à tous, à tout le monde, au risque de donner le baton pour se faire battre.
RépondreSupprimerC'est le problème des démocraties quand elles permettent l'élection de leur ennemi, non ?
Marianne, bien-sûr !
Comment va-t-elle ?
c'est juste, je suis conscient de la chose, je ne dis pas que j'ai la solution (finale!). J'aimerais proposer à tout le monde, mais je trouve cela difficile en l'état… je progresse très lentement, mais on a encore du temps… Marianne semble aller mal, dépression à répétition, je n'en sais pas plus…
RépondreSupprimerrassembler les membres épars
RépondreSupprimer"Tout le monde" est déjà une métaphore en soi...
RépondreSupprimerMais ce qui est à tout le monde n'est à personne...et c'est déjà le début des problèmes.
Tout le monde est déjà une métaphore en soi : j'entends que chacun en est une, mais ce n'est pas ça que tu veux dire, ce n'est pas ça qui t'intéresse pour l'occasion, comme si être une métaphore était dévalorisant…
RépondreSupprimerle sens des valeurs, voilà ce que j'aimerais ne pas avoir…
J'essayai de dire que "tout le monde" c'est beaucoup pour un seul homme et pour un projet, quel qu'il soit.
RépondreSupprimerJe ne crois pas aussi à une ouverture universelle, même si rêver à une utopie pourrait être plus gratifiant du point de vue de l'esprit.
Pour un projet à Marseille, les dossiers sont à rendre pour juin 2010, c'est à dire demain, avec une esquisse de budget, les intervenants, etc...
Pas mal de boulot en perspective et des intentions à mettre en relief.
c'est juste sur ces points que je voulais attirer l'attention, rien de plus. Pour entrer dans les "possibles" d'une programmation sans doute exigeante, il faut, je crois, un peu plus que de bonnes intentions. Seul un discours puissant pourrait ouvrir de nouvelles alternatives. Mais loin de moi d'être un briseur d'élan....
Ce qui est dévalorisant à mon sens, serait de rêver à une chose ou un état, pour lequel on ne mettrait aucune volonté de mise en oeuvre....et au final de se laisser bercer par une illusion .
mais tout n'est qu'illusion, voyons !
RépondreSupprimerje rigole, mais j'entends ce que tu dis (métaphore…)
l'amateurisme vaincra!
on peut faire plusieurs projets, individuels, collectifs, anonymes, plagiaristes…
On peut en effet...
RépondreSupprimerTout est open....
pour un projet l'amateur de plein air, une sorte d'aleph v
RépondreSupprimerd'ailleurs, dans l'aleph de Borges, il y a ce texte, L'Immortel, qui me paraît parfait pour illustrer le personnage de l'amateur de plein air qu'il était question de définir, initialement ou presque, dans cette colonne. Je n'ai plus ce livre ni ce texte, j'irai l'emprunter cette semaine, le relire etc.
RépondreSupprimerà plus sur ce thème…