Je suis également perturbée par la caution, le discours assez juste apportée par le collectioneur, qui malgré tout dans un magazine comme citizen sert d'alibi a la fascination fétichiste pour les armes et au dela à la pulsion violente.on pense alors aux enfants a qui on offre des pistolets et a ceux a qui on les défend.avez vous entendu parler d'un travail d'un étudiant des beaux-arts un faux jeu vidéo une course poursuite arme a la main mais contrairement au véritable jeu là le joueur ne rencontre jamais d'ennemi mais finit par se servir de son arme quand meme .
personnellement, je me demande si le marché de l'art n'est pas que la face sanctifiée du marché de la mort : le mou et le dur. je ne suis pas sûr d'avoir beaucoup plus de respect pour l'un que pour l'autre. Debord disait : "salut les artistes, et tant pis si je me trompe!" je resituerai l'expression quand je retomberai dessus…
je crois que la fascination fétichiste (cf. Quignard : le sexe et l'effroi) concerne un désir de toute puissance et masque mal une tendance tenace à la détumescence…
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RépondreSupprimerJe suis également perturbée par la caution, le discours assez juste apportée par le collectioneur, qui malgré tout dans un magazine comme citizen sert d'alibi a la fascination fétichiste pour les armes et au dela à la pulsion violente.on pense alors aux enfants a qui on offre des pistolets et a ceux a qui on les défend.avez vous entendu parler d'un travail d'un étudiant des beaux-arts un faux jeu vidéo une course poursuite arme a la main mais contrairement au véritable jeu là le joueur ne rencontre jamais d'ennemi mais finit par se servir de son arme quand meme .
RépondreSupprimerpersonnellement, je me demande si le marché de l'art n'est pas que la face sanctifiée du marché de la mort : le mou et le dur.
RépondreSupprimerje ne suis pas sûr d'avoir beaucoup plus de respect pour l'un que pour l'autre. Debord disait : "salut les artistes, et tant pis si je me trompe!" je resituerai l'expression quand je retomberai dessus…
je crois que la fascination fétichiste (cf. Quignard : le sexe et l'effroi) concerne un désir de toute puissance et masque mal une tendance tenace à la détumescence…
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