dimanche 17 mai 2009

plus poreux

je ne sais pas encore ce qui se voit de ce petit assemblage…
je bricole dans l'inconnu, à suivre, donc.

6 commentaires:

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  2. justement, j'aimerais bien le savoir…

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  3. donc par la conscience nous sommes plus poreux et nous existons moins mais les images montrent de l'existence ? du corps ? vm

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  4. ce qui est sûr c'est que je suis jaloux de ton identité, chère Anonyme !
    quant au moins, il ne se mesure pas en pixels ou en ph, allez savoir si les moins que rien impressionnent ou non les pellicules…
    quant à la porosité, il faut lire le très beau texte de Sibona sur les cerveaux et les éponges… s'il m'y autorise, j'en ferai une copie pour ici, la bibliothèque du non-lieu qui nous sert de rendez-vous…
    je pense aussi beaucoup à "l'invention de Morel" qui avait d'ailleurs servi de trame, private reference pour toi vm, à l'atelier de Pesenti auquel j'ai participé il y a seulement 12 ans!

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  5. Il y a seulement douze ans sur la scene un pianiste jouait E Satie évoquant par là, aujourd'hui une autre perméabilité ( Satie adorait les parapluies) celle de Montparnasse et d'ailleurs paris parmi pari les images obsédantes de l'invention de Morel pour moi il me semble que c'est la marée qui met en route l'invention. J'enregistre ce commentaire.vm

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  6. il s'agissait des "vexations", qu'il faut jouer pendant 24 heures ; ce qu'il fit, en trois jours… il a fait fait les 3x8, comme on fait à présent des 4x4… et nous, stagiaires pesentiens, nous nous apesentîmes sur la scène 3 soirs de suite, au long desquels ma rage et mon désespoir s'épuisèrent, pour laisser place au rien dont je fais, depuis, mon quotidien!
    Pourquoi pas plutôt rien, Cioran.
    Quelque chose plutôt que rien, l'avait précédé Marcel Duchamp.
    je suis toujours le cul entre leurs deux chaises vides.

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