mardi 2 novembre 2010

vacance ?

vendredi 14 mai 2010

a t o p i a

il y a les îles, les archipels… et l'utopie, et l' atopia
(cliquer sur a t o p i a)

mardi 4 mai 2010

samedi 1 mai 2010

Horizon

Ferdinand Hödler    
Une simple ligne dessinée d'un bout à l'autre de la vision.
Des nuages blancs étroitement liés à leurs ombres.
Ce qui est tout proche apparaît d'abord à l'horizon. 
Ce qui nous arrive a toujours une cause.

c'est le début de la page 288 du livre que Daniel nous a offert il y a 11 ans :
Le Tao au jour le jour, de Deng Ming-Dao
sous-titré "365 méditations taoïstes"
Horizon correspond au 15 octobre pour l'hémisphère Nord et au 15 avril pour l'hémisphère Sud.

Merci Daniel.

samedi 17 avril 2010

escrever


à voir avec des binocles colorés, vert à gauche, rouge à droite…

lundi 12 avril 2010

Pourquoi 23?


vous trouverez les fichiers sons, textes et images correspondant à l'adresse ci-dessous :

http://www.megaupload.com/?d=QORJG6PK

merci à nouveau à celles et ceux qui ont participé à cette micro-entreprise!

samedi 27 mars 2010

blog toujours, tu m'intéresses…


j'ai trouvé cette image sur ce blog :
que je trouve bien sous bien des rapports,
notamment les catégories quotidiennes…

mercredi 24 mars 2010

à vos souhaits!


rien ne nous tient, 
juste le désir
je campe sur ma position
ce blog est ce que nous avons fait.
c'est déjà ça.
quant aux matières,
premières, fécales, dernières,
essentielles, existencielles…
je n'en ai cure, épicure!

vendredi 19 mars 2010

proposition



je pensais à une publication-expo ou expo-publication qui pourrait consister en ceci :
De notre amas en cours et à venir, de notre
amateria, faire une sélection d'images (le plasticien parle) et de textes, sans oublier de penser à un fond sonore (l'expression est péjorative, mais ça fonction ne devrait pas l'être) .
Une sélection de 111 ou 166 ou encore 333 images (ou cadrages d'images, diverses et variées, y compris de nos propres travaux, actions, faits, je ne sais quoi encore ; images bonnes ou mauvaises suivant tel ou tel critère, mais tirages irréprochables).

(Cadrages d')images accompagnées de textes (ou fragments de textes ; prévoir de ne pas dépasser un certain nombre de signes), en miroir, en relation, en jeu entre eux.
111 images + 111 textes + 111 pièces sonores
ou
166 images + 167 textes + fond sonore, avec ou sans coupures ;
ou une autre quantité, peu importe, au fond.

Prévoir que dans une exposition, ou une publication (je pense à une boîte) ou les 2 ensemble, ce qui serait encore mieux, chaque image renverrait à un texte qui renverrait à une image qui renverrait…, dans l'idée d'une piste à suivre (jeu de piste ? de plein air ?)
L'idée du cadavre-exquis de Véro permettrait la construction…
Un fil, une ligne conducteurs pour une expo, de même pour une publication (au plus simple une suite de numéros, mais il faudrait trouver mieux)

Chercher pour cela
la cohérence,
(par) la simplicité,
le ludique,
l'ouverture…

Qu'est-ce vous en pensez ?

dimanche 14 mars 2010

ah c'est d'accord

pour associer image et texte et autre,
c'était, je crois, une des intentions premières de l'ama
et pour reprendre cette sentence de Sibona qui me suit
depuis bientôt 30 ans, j'aimerais qu'on puisse se dire :
DE L'AMA SE DéGAGE LE SENS


mardi 9 mars 2010

sublime ridicule


il n'y a qu'un pas du sublime au ridicule.
le ridicule ne tue pas.
ce qui ne tue pas, rend plus fort.

this is not an haiku, but the way i think about this fourre-tout…
aussi à propos du ridicule, je le vois comme un petit sac à main, à commissions, un sac où l'on pourrait/devrait mettre tout ce qui nous semble important.
pour aller, peut-être, en Utopie…

jeudi 4 mars 2010


j'aime beaucoup ce qu'a fait ce canadien nommé 
Morelli avec des tampons dans les années 90
peut-être pourrait-on lui demandé si on peut les mettre dans notre numéro…
ou alors on le fait et puis on verra après…
qui sait ?

lundi 1 mars 2010

aujourd'hui

mon éphéméride migros fait dire à Albert Einstein :
 "ce qui est incompréhensible, ce que le monde soit compréhensible."
la preuve, c'est qu'on croirait le printemps, voire pire :

dimanche 28 février 2010



… une exposition, un livre, un blog — que nous bricolons déjà —, un film ou, plus simplement, dans le plus sobre des cas, le désir formulé présentement (mais pourquoi ne pas donner forme à cette formulation dans une exposition, un livre, etc) de tout ça…

mardi 23 février 2010



Concernant les amateurs, une façon de faire (une expo, ou déjà son projet) serait de se dire, pour chacun, voilà ce que j'aimerais montrer, ouvrageant dans un premier temps à un petit inventaire, que ce soit d'images, d'objets, de sons, d'actions, de concepts ou autre chose encore.
Un 2e blog de l'amateur pourrait ne servir qu'à ça (blog-inventaire/outil, le vent, l'air ! histoire de savoir ce qui pourrait entrer en jeu dans cette petite aventure — comparée à Haïti !)
Sans les états d'âmes de ce blog…
(appréciables, divertissants ou chiants — je me demande même, avec le temps que nous passons devant un écran, si la formule blog, avec ses cumuls, ne devient pas rasoire à la longue ; mais peut-être que l'intéressant du blog, c'est son présent, plus que son passé ?)

De là, nous nous organisons avec l'expérience, de l'un, de l'autre…

(l'image est sur
http://www.radicalcartography.net)

dimanche 17 janvier 2010

yves, mon temps



je m'interroge sur un mystère marseillais de plus, celui d'Yves Montant dans le dernier film de Jacques Demy : Trois places pour le 26, sorti en 1988.
Comment se fait-il que l'on découvre il y a peu, via un livre écrit par la concernée, qu'il avait des relations "obscènes" (merci Siboune!) avec sa fille, et que c'est justement le sujet de 3 places pour le 26 ?
Décidément Marseille est Miss Térieuse !

dimanche 10 janvier 2010

portrait pour trait


voilà à quoi j'aimerais ressembler
mais je ne ressemble à rien…

jeudi 7 janvier 2010

amis





pour accompagner la mise sur YouTube d'un petit montage sur la chanson "Amis" de Gérard Manset, voici un texte de F. Nietzsche sur le même thème : 


376. Des Amis,

Une bonne fois, considère donc à part toi combien sont divers les sentiments, partagées les opinions, même entre tes relations les plus proches ; combien des opinions même pareilles se trouvent avoir, dans la tête de tes amis, une orientation ou une force toute autres que dans la tienne ; combien il se présente de si différentes occasions de malentendu, de séparation dans une fuite hostile. Après quoi tu te diras :  Que le sol est incertain sur lequel repose toutes nos liaisons et amitiés, que les froides averses sont proches ou les intempéries, que tout homme est solitaire ! Quiconque se rend bien compte de cela, et puis encore que toutes les opinions, que leur genre et leur force sont, chez ses semblables,  tout aussi nécessaires et irresponsables que leurs actes, qui arrive à savoir discerner cette nécessité intérieure des opinions dans l'irréductible enchevêtrement du caractère, des occupations, du talent, du milieu, -- celui-là s'affranchira peut-être de cette amertume, de cette âpreté de sentiment avec laquelle le sage fameux s'écriait : "Amis, il n'y a point d'amis !" Voici plutôt ce qu'il s'avouera :  Oui, il y a des amis, mais c'est l'erreur, c'est l'illusion sur ta personne qui te les a amenés ; et il aura fallu qu'ils apprennent à garder le silence pour rester tes amis ; car ce qui assied presque toujours pareilles relations humaines, c'est qu'il y a un certain nombre de choses que l'on ne dit, que l'on effleure même jamais ; mais ces cailloux se mettent-ils à rouler, l'amitié s'en va derrière eux et se brise. Existe-t-il des hommes capables de n'être pas blessés à mort s'ils venaient à découvrir ce que leurs amis les plus intimes savent d'eux tout au fond ? -- C'est en apprenant à nous connaître nous-mêmes, à considérer notre propre être comme une sphère instable d'opinions et d'humeurs, et ainsi à le mépriser quelque peu, que nous rétablirons l'équilibre avec les autres. Nous avons de bonnes raisons, c'est vrai, de faire peu de cas de chacun de ceux que nous connaissons, quand ce serait le plus grand ; mais de toutes aussi bonnes de retourner ce sentiment contre nous-mêmes. -- Et ainsi, supportons-nous les uns les autres, puisqu'aussi bien nous nous supportons nous-mêmes ; peut-être alors l'heure de joie viendra-t-elle un jour elle aussi où chacun dira :
"Amis, il n'y a point d'amis !" s'écriait le sage mourant ;
"Ennemis, il n'y a point d'ennemis !" s'écrie le fou vivant que je suis.